4. M. MAJDI (Maroc) remercie le Comité pour le dialogue fructueux qu'il a su instaurer avec son pays. Il rappelle que le respect des droits de l'homme est avant tout affaire de volonté politique et que cette volonté a été tout récemment réaffirmée par le Roi du Maroc lui-même. Les législateurs marocains ne manqueront pas de s'inspirer des critiques et des suggestions du Comité pour intégrer plus avant les dispositions de la Convention dans la législation nationale. Les autorités marocaines répondront dès que possible aux questions des membres du Comité restées en suspens.
5. La délégation du Maroc se retire.